Votre carte grise en sous-préfecture de La Trinité

Avec Guichet Carte Grise, c’est un jeu d’enfant de faire sa carte grise en sous-préfecture de La Trinité en Martinique.

Vos options d’immatriculation à La Trinité

La carte est grise est désormais appelée officiellement “certificat d’immatriculation”. On peut dire qu’elle représente la carte d’identité de votre engin à moteur (voiture, moto, camion, camping-car, etc.) ou de votre remorque (PTAC de plus de 500kg). Elle contient en effet les principales informations sur votre véhicule, mais aussi sur son propriétaire.

C’est la raison pour laquelle, lorsque vous achetez un véhicule neuf, vous devez le faire immatriculer et créer une carte grise. Mais vous devez également modifier les données si celles-ci sont amenées à changer (achat d’occasion, don, succession, ajout de co-titulaire, fin de leasing, mariage, divorce, déménagement, etc.), si vous vendez le véhicule ou si vous perdez le document. Dans ce dernier cas, vous devez demander un duplicata.

Comment faire ? Une chose est primordiale à savoir : il n’est plus possible de se déplacer en sous-préfecture de La Trinité pour y faire une demande de carte grise. Vous disposez néanmoins de plusieurs options pour commander un certificat d’immatriculation en Martinique :

• le service d’un professionnel de l'automobile : dans un garage homologué ou chez un concessionnaire ;
• le site de France Titres (l’ANTS) ;
• le site Guichet Carte Grise, l’expert de l’immatriculation en ligne.

Martinique : le coût de l’immatriculation

Le coût d’une carte grise dépend des caractéristiques techniques de votre véhicule (modèle, âge, nombre de chevaux fiscaux, type de motorisation, etc.), de votre demande et de votre région.

La taxe régionale est souvent la plus importante. Elle est estimée en multipliant le prix du cheval fiscal en sous-préfecture de La Trinité qui est de 30€ en 2024 par la puissance fiscale de votre véhicule. Le même tarif s’applique pour l’ensemble de la Martinique, car c’est le Conseil régional qui vote le montant du CV chaque année. Notez que les véhicules électriques profitent d’une exonération totale de taxe régionale lors de leur immatriculation, ainsi que les voitures de 10 ans, mais celles-ci à hauteur de 50% seulement.

D’autres frais s’ajouteront comme la taxe de gestion, la redevance d’acheminement, le malus écologique, la taxe de formation pour les professionnels et/ou les frais de service d’un prestataire externe.

Votre montant final de carte grise peut être calculé grâce à notre simulateur en ligne.

Votre sous-préfecture de La Trinité : coordonnées

La sous-préfecture de La Trinité est ouverte les matins de 8h à 12h Rue Joseph Lagrosillière. Pour toute question relative :

• à l'accueil des étrangers ;
• aux manifestations ;
• aux armes ;
• au droit aérien ;
• à la vidéoprotection ;
• aux chiens dangereux ;
• aux associations ;
• aux professions réglementées ;
• etc. vous pouvez téléphoner au 05 96 58 21 13 ou envoyer un message sur sous-prefecture-de-trinite@martinique.pref.gouv.fr.

La sous-préfecture abrite également un point d’accueil numérique à disposition des personnes qui ne peuvent pas avoir Internet ou qui ont des difficultés avec les téléprocédures, notamment quant à l’utilisation des ordinateurs.

La Trinité en Martinique

Localisée sur la côte nord de la Martinique, La Trinité possède 11 747 habitants (en 2021). Son économie repose principalement sur l’administration, les soins hospitaliers, la bibliothèque, l’éducation, les commerces, la fabrication de sucre, la pêche et le tourisme.

Les visiteurs sont attirés par la découverte du patrimoine historique et naturel comme la sucrerie du Galion, l’ancienne distillerie Hardy, le fort de la Trinité, la batterie de l’Anse l’Étang et la réserve La Caravelle.

La commune fut fondée en 1658. Le nom de La Trinité provient des trois quartiers que comportaient la ville ou de la dévotion du premier curé pour la Sainte-Trinité. Elle se développa ensuite grâce à la production de cacao, de coton et de sucre. Son port fut donc d’une importance capitale jusqu’au XIXe siècle.